(Néologisme pour néolibéraux illogiques)
Odja Llorca – Chant
Benoit Lugué – Basse
Bertrand Noel – Batterie
Gerard Watkins – Guitares – chant
Vassia Zagar – Guitares
Prise de son / mix deEmmanuel Galet
Paroles et musique de Gerard Watkins
Un florilège d’investissement de fric à mettre en arrière plan
Et non sans contrefaçon
Avachi dans un canapé chevauchant sur la canopée
Des tas de cendres de ta maison
Si lui dit vrai qui est ce qui ment ? S’il est dessus qui est dedans ?
En vert et contre toute raison
Une cure de blair une chute de blé une gerbe de flair une paire de dés
Pour dire qu’il n’y a plus de saisons
Et le manque à gagner est le butin de l’araignée
Et des ombes du fond de la tombe où nos âmes sont enterrées
Et le bout d’os au fond de la moelle est là pour qui crèvera la dalle
Et les mouches qui se mangent la toile chanteront fort ce madrigal
Une ouverture à ras la bourse le temps que le diable aille faire ses courses
Et qu’est-ce qu’elles sont lourdes à porter
A passer dans les mailles du filet de peur qu’on l’attrape au collet
Il change ses langes d’identité
Bien fiscal est son paradis où tout est d’or comme il l’a dit
En joie de son lointain exil
Le plus on coule le plus il grimpe le moins c’est cool
le plus tu il pimpe ses dents de sang il fera mille
Et hop et hop ah bon eh oui et c’est comme ça
Je dis que ça craint tu dis que t’as faim il dit que c’est rien
et tout ça pour notre bien
Et nous sommes toujours des iles.
Car bien au delà du parasite que tout séduit
qu’un rien excite est loin d’être jaune le péril
Bien fiscal est ton paradis
Une ombre au moins ça a un air lui n’est même pas dans le dictionnaire
Et dans ses voiles y a vla du vent
On l’a senti on a prit cher passer par la porte de derrière
Les balles toujours bien dans son camp