Odja Llorca – Chant
Benoit Lugué – Basse
Bertrand Noel – Batterie
Gerard Watkins – Guitares – chant
Vassia Zagar – Guitares
Au fond des forages qui abreuvent nos nerfs
Se forge un langage qui donne vie aux éclairs
C’est pas un désert qui nous fera lever
Mais juste une caresse sous la forme d’un coup de pied
C’est nos abîmes qui nous réveillent
Nos insomnies qui nous rendent beaux
Verse ta salive dans mon oreille
Chaloupe tes jambes comme un roseau
Le temps part en vrille vas y mène la danse
Fait voler la quadrille et pardonne leurs offenses
En rupture de graines le temps nous le rend bien
Réveille toi ma hyène atterri enfin
Y a rien de plus nul qu’un guerrier urbain
Y a rien de plus noble que les essieux d’un train
Ils perdent le nord à s’enfermer
Contre leurs flèche un pas de coté
Demain la frontière nous tendra son fil
Je te prête mes ciseaux si tu ravales ta bile
Ey que la colère disparaisse s’évanouisse comme une promesse
Et que nos spectres deviennent cendre et que rugissent les amours tendres